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Bluwal, Pionnier de la télévision

Marcel Bluwal est le dernier géant du petit écran. Né en 1925, il a traversé le siècle. Son Dom Juan avec Michel Piccoli et Claude Brasseur, ses adaptations de Marivaux – avec Danièle Lebrun et Jean-Pierre Cassel, mais aussi le feuilleton Vidocq sont des chefs d’oeuvres incontournables.
Sa vie est un roman, celui d’une époque. Il se souvient dans ce livre des jeudis, du Front Populaire, des actualités de première partie au cinéma, de la guerre et de ce que signifie être enfermé dans une chambre durant près de deux années, des débuts en fanfare de la télévision française, de l’ORTF… Il nous fournit en outre une foule d’anecdotes sur les secrets de tournage, de casting, etc.
Son regard sur le monde est acéré, sa passion de l’image intacte, sa parole abondante et passionnante.

Ariane Ascaride : « Cet homme a signé des chefs d’oeuvre et il continue à être persuadé qu’il est du “deuxième rayon”. C’est peut-être en ça qu’on se rejoint : lui, c’est le petit juif du XIIe et moi je suis la petite Marseillaise du trou du cul du monde. Sans se le dire, on s’est reconnus. »

Claude Brasseur : « Il y a eu trois metteurs en scène importants dans ma vie, dans ma carrière. Jean-Luc Godard au cinéma, Roger Planchon au théâtre et, à la télévision, Marcel Bluwal. »

Léa Drucker : « Travailler avec Marcel, c’est rencontrer un metteur en scène dont la vivacité d’esprit, la curiosité inépuisable, et l’énergie font qu’on a envie de le retrouver chaque jour pour qu’il nous raconte une nouvelle histoire. »

Catherine Frot : « J’ai appris avec Bluwal à mettre de la vie dans les personnages. […] C’est un sens du spectacle, mettre de l’émotion, du rire… »

Michel Piccoli : « C’est Bluwal qui m’a fait démarrer à la télévision […] L’art de la télévision est né à ce moment-là et Bluwal en était un des maîtres. »

Une page dédiée aux réalisations de Marcel Bluwal est disponible sur le site de l’INA à l’adresse www.ina.fr/personnalités/marcel-bluwal.

Description

Marcel Bluwal est le dernier géant du petit écran. Né en 1925, il a traversé le siècle. Son Dom Juan avec Michel Piccoli et Claude Brasseur, ses adaptations de Marivaux – avec Danièle Lebrun et Jean-Pierre Cassel, mais aussi le feuilleton Vidocq sont des chefs d’oeuvres incontournables.
Sa vie est un roman, celui d’une époque. Il se souvient dans ce livre des jeudis, du Front Populaire, des actualités de première partie au cinéma, de la guerre et de ce que signifie être enfermé dans une chambre durant près de deux années, des débuts en fanfare de la télévision française, de l’ORTF… Il nous fournit en outre une foule d’anecdotes sur les secrets de tournage, de casting, etc.
Son regard sur le monde est acéré, sa passion de l’image intacte, sa parole abondante et passionnante.

Ariane Ascaride : « Cet homme a signé des chefs d’oeuvre et il continue à être persuadé qu’il est du “deuxième rayon”. C’est peut-être en ça qu’on se rejoint : lui, c’est le petit juif du XIIe et moi je suis la petite Marseillaise du trou du cul du monde. Sans se le dire, on s’est reconnus. »

Claude Brasseur : « Il y a eu trois metteurs en scène importants dans ma vie, dans ma carrière. Jean-Luc Godard au cinéma, Roger Planchon au théâtre et, à la télévision, Marcel Bluwal. »

Léa Drucker : « Travailler avec Marcel, c’est rencontrer un metteur en scène dont la vivacité d’esprit, la curiosité inépuisable, et l’énergie font qu’on a envie de le retrouver chaque jour pour qu’il nous raconte une nouvelle histoire. »

Catherine Frot : « J’ai appris avec Bluwal à mettre de la vie dans les personnages. […] C’est un sens du spectacle, mettre de l’émotion, du rire… »

Michel Piccoli : « C’est Bluwal qui m’a fait démarrer à la télévision […] L’art de la télévision est né à ce moment-là et Bluwal en était un des maîtres. »

Une page dédiée aux réalisations de Marcel Bluwal est disponible sur le site de l’INA à l’adresse www.ina.fr/personnalités/marcel-bluwal.

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